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La valorisation des déchets : la liste des procédés

Découvrez les différents procédés de valorisation des déchets en France, de la réutilisation au recyclage, en passant par la valorisation énergétique et le compostage.

Mis à jour le 20 mai 2025 Stéphanie Brassart - Responsable marketing et communication ELISE 13 mins de lecture

Pour les plus pressés

  • La directive européenne 2008/98/CE introduit une hiérarchie dans la politique de gestion des déchets, en partant du principe que la meilleure façon de les gérer est de les éviter en premier lieu.
  • Outre la prévention, un déchet doit être, dans l’ordre : préparer en vue du réemploi ou réutiliser, recycler, valoriser par d’autres moyens (notamment sous forme d’énergie) et seulement en dernier recours éliminer, c’est-à-dire enfoui ou incinéré sans récupération d’énergie.
  • Actuellement, en France, seule la moitié de nos déchets est recyclée et 28 % sont encore éliminés. La valorisation énergétique concerne 8 % des déchets.

Valoriser les déchets grâce au réemploi et à la réutilisation : objectif 5 % des déchets en 2030

Réemploi et réutilisation : définitions

Le réemploi et la réutilisation des déchets sont définis par le code de l’Environnement à l’article L 541-1-1 :

  • La réutilisation recouvre toutes les actions qui permettent de contrôler, nettoyer ou réparer un produit ou une matière devenue un déchet, pour qu’il soit de nouveau utilisable. Par exemple, lorsqu’un meuble abimé est rénové pour être mis à la vente en ressourcerie ;
  • Le réemploi consiste à utiliser de nouveau pour un même usage, des objets ou des matières qui ne sont pas des déchets. Par exemple, lorsqu’un brocanteur revend un meuble en bon état.

 

Quel est l’intérêt du réemploi et de la réutilisation ?

Le réemploi et la réutilisation présentent un intérêt considérable car ils évitent la fabrication d’un objet neuf ainsi que les procédés d’extraction des matières premières qui permettent de le fabriquer – à la condition que les procédés qui permettent la réutilisation ne soient pas, à leur tour, trop consommateurs de matières ou d’énergie.

À titre d’exemple, acheter un ordinateur reconditionné permet d’éviter l’extraction de 127 kg de matières premières et l’émission de 27 kg d’équivalent CO2 (soit 82 km en voiture) par année d’utilisation (1) – à condition que l’écran et le disque dur n’aient pas été changés.

 

Combien de déchets sont concernés en 2024 ?

Selon le Plan national de prévention des déchets 2021-2027, environ 1 million d’objets auraient été concernés par le réemploi et la réutilisation en 2017 (2).

Depuis 2022, un observatoire du réemploi et de la réutilisation suit les évolutions des données pour une partie des filières à responsabilité élargie du producteur (REP). Les données connues en 2024 restent limitées à quelques grandes filières, mais on peut tout de même relever les éléments suivants :

  • 173 604 tonnes de déchets ont été préparées en vue du réemploi ou de la réutilisation en 2022 dans les secteurs du textile (66,4 % du tonnage), de l’ameublement (23,1 %) et des Déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) (10,5 %). Un chiffre à mettre en regard des 310 millions de tonnes de déchets produits en France en 2021.
  • Pour le secteur textile, le réemploi représente 16,4 % des mises sur le marché, c’est 1 % pour les DEEE professionnels et 0,7 % pour les DEEE ménagers, et 1,2 % pour l’ameublement.

 

À noter

Le marché de la seconde main en plein boom : est-ce une fake news ?

Quand on voit les chiffres de l’observatoire du réemploi et de la réutilisation, que penser de l’engouement pour la seconde main ? Selon l’ADEME, 14 % des smartphones vendus sont des reconditionnés en 2020, une hausse de 18 % par rapport à 2019, pour un chiffre d’affaires de 700 millions d’euros (3). Une autre étude relève que le marché français de la seconde main représenterait 7 milliards d’euros en 2021 (4). En réalité, tout est une question de sources de données. C’est précisément l’une des missions de l’observatoire du réemploi et de la réutilisation que de développer des jeux de données fiables pour obtenir une meilleure visibilité quant au périmètre du réemploi et de la réutilisation en France… Et pour vérifier si les objectifs fixés par la loi sont bien atteints !

Quelles sont les limites actuelles au développement du réemploi et de la réutilisation ?

Développer le réemploi et la réutilisation présente encore quelques défis :
la complexité de la collecte, du tri et de la réparation de façon adaptée pour toute typologie d’objets ;
le développement d’un marché pour la seconde main, qui implique de transformer les habitudes de consommation ;
la nécessité de mobiliser les acteurs économiques autour du réemploi et de la réutilisation.

 

Et demain, quels objectifs ?

L’article 4 de la Loi antigaspillage pour une économie circulaire fixe comme objectif d’atteindre une part de réemploi et de réutilisation équivalente à 5 % du tonnage des déchets ménagers d’ici 2030.

Des objectifs spécifiques par filière sont également fixés soit directement par la loi AGEC, soit par le cahier des charges des filières REP qui ont des objectifs de réemplois. On peut citer, à titre d’exemple, les filières suivantes :

  • les emballages : un objectif de réemploi de 10 % des emballages mis sur le marché d’ici 2027 (et 5 % en 2023) (loi AGEC, article 9) ;
  • les DEEE : réemployer chaque année une quantité égale à 2 % des équipements mis sur le marché ;
  • les jouets : réemployer une quantité égale à 6 % en 2024, puis 9 % en 2027 des jouets mis sur le marché l’année précédente.

 

À consulter

Le plan national de prévention des déchets 2021-2027 : une vue d’ensemble des actions prévues pour limiter la production de déchets en France

Feuille de route de la France dans sa trajectoire de gestion des déchets, le plan national 2021-2027 liste les actions prévues en matière de réemploi et de réutilisation des déchets en France.

Le recyclage : 50 % des déchets en France en 2020

Le recyclage, la définition du Code de l’environnement

Le Code de l’environnement définit le recyclage comme “toute opération de valorisation par laquelle les déchets, y compris les déchets organiques, sont retraités en substances, matières ou produits aux fins de leur fonction initiale ou à d’autres fins”.
En clair : le recyclage consiste à transformer le déchet pour qu’il puisse réintégrer un circuit de production.

 

Quelle quantité de nos déchets est concernée en 2024 ?

La France a produit 310 millions de tonnes de déchets en 2020, soit 4,6 tonnes par habitant. Au total, 64 % de ces déchets ont été recyclés ou remblayés (5) : un chiffre qui inclut les déchets de construction, qui représentent environ 70 % du total de nos déchets.

Plus précisément, en 2020, le recyclage a concerné :

  • 43 % des déchets non minéraux et non dangereux ;
  • 30 % des déchets dangereux ;
  • 54 % des déchets minéraux (6).

Tous types de déchets confondus, le SDES estime que 50 % de nos déchets ont été recyclés en 2020, une amélioration de 2 points par rapport aux chiffres de 2010.

D’un matériau à l’autre, d’une filière de recyclage à l’autre, les taux varient fortement :

  • les métaux, entièrement recyclables, sont recyclés jusqu’à 90 % ;
  • le verre présente un taux de recyclage de 88 % en 2022 ;
  • les déchets de bois sont recyclés à 53 %…

 

Quel est l’intérêt du recyclage ?

Toute matière recyclée devient une nouvelle matière première, nommée “matière première issue du recyclage”. Pour certaines matières particulièrement difficiles à obtenir par extraction ou introuvables sur le sol français, recycler est un enjeu de souveraineté de l’approvisionnement : c’est le cas, par exemple, du cuivre et de nombreux métaux rares. Et dans plusieurs filières, les MPR font partie intégrante du processus d’approvisionnement. Selon les chiffres clés des déchets 2024 de l’ADEME :

  • pour l’industrie papetière, les MPR représentent 71 % de l’approvisionnement matière ;
  • pour la sidérurgie, 43 % ;
  • pour l’industrie du verre, 63 %.

Recycler joue aussi bien sûr un rôle clé dans la lutte contre les impacts environnementaux de l’élimination des déchets et limite les émissions de gaz à effet de serre et la consommation d’eau liées à la production industrielle. L’ADEME estime notamment que le recyclage :

  • évite la production de 17 millions de tonnes de CO2 ;
  • évite la consommation de 34 TWh d’énergie fossile.

D’un point de vue sociétal, enfin, l’industrie de la gestion des déchets au sens large emploie 120 530 personnes en France en 2020, des métiers indispensables et non délocalisables (7).

Quelles sont les limites actuelles au développement du recyclage ?

Depuis la directive européenne sur les déchets de 2008 et la succession de réglementations qui ont suivi aux niveaux européen et français, les leviers d’actions pour développer et améliorer le recyclage des déchets en France se multiplient. Les défis concernent :

  • le comportement des consommateurs et des activités économiques :
    • l’amélioration continue du tri à la source pour augmenter encore les taux de collecte ;
    • le développement des pratiques d’écoconception par les producteurs pour limiter les déchets et faciliter le recyclage ;
  • les défis techniques et économiques du recyclage :
    • les centres de tri ont dû se moderniser pour affiner et améliorer leurs capacités ;
    • recycler a un coût. Si le recyclage de certains matériaux est dopé par le marché (par exemple pour les métaux), d’autres peinent à trouver des débouchés, parfois limités par les attentes en termes de qualité de la matière, ou tout simplement par les normes qui encadrent certains produits et matériaux ;
    • certains matériaux, comme le plastique, ne se recyclent pas à l’infini, leur qualité se dégrade au gré des recyclages.

 

Et demain, quels objectifs ?

La France s’est fixé comme objectifs principaux :

  • de réduire de 50 % les déchets mis en décharge entre 2010 et 2025 ;
  • d’atteindre 65 % de valorisation matière des déchets non dangereux et non inertes d’ici 2025.

Les chiffres du recyclage tendent à montrer une amélioration, mais les objectifs fixés, notamment celui d’atteindre 65 % de valorisation matière pour tous les déchets non minéraux non dangereux en 2025, ne sont pas encore atteints. Néanmoins, et notamment grâce à l’amélioration du tri à la source, la quantité de déchets enfouis diminue. Les effets des dispositifs lancés récemment, comme les nouvelles filières REP ou la collecte séparée des biodéchets, devraient se mesurer dans les années à venir.

La valorisation énergétique en UIOM, la méthanisation et les combustibles solides de récupération (CSR) : 8 % de nos déchets

Qu’est-ce que la valorisation énergétique ?

La valorisation énergétique consiste à transformer l’énergie contenue dans les déchets non recyclables ou non réutilisables en électricité, en chaleur ou en biogaz. Plusieurs procédés permettent cette transformation :

  • Incinération : c’est le procédé le plus couramment utilisé en France, notamment dans les Unités d’Incinération des Ordures ménagères (UIOM), où la combustion des déchets produit de l’électricité et de la chaleur.
  • Biogaz : les déchets organiques, en se décomposant en unité de méthanisation, génèrent du biogaz qui peut être récupéré pour produire de l’électricité et de la chaleur.
  • Combustibles solides de récupération (CSR) : ces combustibles sont issus de déchets non recyclables (bois, plastiques, papiers, etc.) et servent de substituts aux combustibles fossiles dans des secteurs industriels, tels que les cimenteries et les chaufferies.

 

Quelle quantité de nos déchets est valorisée énergétiquement en 2024 ?

Selon l’ADEME, en 2024, environ 8 % de nos déchets sont valorisés en énergie, un chiffre qui a augmenté de 4 points en 10 ans (8). En 2022, les UIOM ont fourni 79 % de la chaleur et 67 % de l’électricité produite par nos déchets. Entre 2000 et 2014, les tonnages incinérés avec production d’énergie ont augmenté de 40 %.

Côté CSR, 300 000 tonnes de CSR produits en France ont été consommés dans les cimenteries et fours à chaux en 2021. Il existe deux chaudières dédiées aux CSR en France en 2021, elles ont consommé 60 000 tonnes de CSR. 19 projets de chaufferie CSR sont engagés en France début 2024 : leur potentiel de consommation de CSR couvre 92 % des objectifs fixés pour 2025, avec 1,5 million de tonnes de CSR potentiellement valorisés (9).

 

Quel est l’intérêt de la valorisation énergétique ?

La valorisation énergétique présente l’intérêt de réduire notre dépendance aux énergies fossiles, tout en offrant un débouché pour limiter la mise en décharge des déchets. Selon l’ADEME, en 2021, la valorisation énergétique des déchets représente l’équivalent de 1,9 milliard de litres de fioul (10).

 

Quelles sont les limites actuelles de la valorisation énergétique ?

La valorisation énergétique présente le risque d’entrer en concurrence avec le recyclage, en captant des déchets qui pourraient être valorisés autrement.
Les installations d’incinération peuvent également atteindre leurs limites de capacités : en 2022, diverses problématiques de saturation ont conduit 497 kt de déchets vers des installations de stockage ou d’autres unités de valorisation énergétique.

 

Et demain, quels objectifs ?

La valorisation énergétique participe à la réduction des déchets enfouis. La France utilise notamment le levier de la Taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) pour encourager le recours à la valorisation plutôt qu’à l’enfouissement : la TGAP passe à 65 euros la tonne pour l’enfouissement d’ici 2025 contre 25 euros par tonne pour le traitement thermique sans valorisation, et 15 euros la tonne avec valorisation énergétique.

Le compostage : le débouché logique pour 83 kg de biodéchets par habitant et par an

Qu’appelle-t-on le compostage ?

Le compostage consiste à transformer les déchets organiques en compost : nos déchets de cuisine et de jardin, en se décomposant, deviennent un engrais naturel pour enrichir les sols. Depuis le 1er janvier 2024, le tri à la source des biodéchets est devenu obligatoire en France et les pratiques de compostage en proximité sont une des voies privilégiées de leur valorisation.

 

Quelle quantité de nos déchets est valorisée par compostage ?

Il est difficile d’évaluer avec précision la quantité de déchets valorisés par compostage en France. Le plan national de prévention des déchets 2021-2027 évoque un gisement de 15,8 millions de tonnes de biodéchets (11). En 2024, le volume de biodéchets produits en France est évalué à environ 83 kg de déchets par habitant et par an dans nos seules Ordures ménagères résiduelles (OMR). Selon l’ADEME :

  • 8 % des OMR uniquement sont orientés vers la valorisation organique ou la méthanisation ;
  • les biodéchets représentent 16 % des flux collectés séparément, et sont alors orientés systématiquement vers le compostage ou la méthanisation.

En 2024, 34 % des Français disposeraient d’une solution de tri à la source des biodéchets (22,9 millions de personnes), dont un tiers en collecte séparée et deux tiers en gestion de proximité (chez soi, en pied d’immeuble, etc.).

À noter

Les pros du biodéchet

L’obligation de tri à la source des biodéchets concerne également les professionnels. Dans le secteur agroalimentaire en particulier, les plus importants producteurs de biodéchets sont soumis à une obligation de tri et de valorisation depuis le 1er janvier 2012, une obligation qui s’est étendue à tous les producteurs de biodéchets (en 2016, puis en 2023).

Quel est l’intérêt du compostage ?

Le compostage présente un intérêt majeur pour limiter la part de déchets qui partent à l’enfouissement ou en incinération sans valorisation, ainsi que les coûts économiques et environnementaux associés : parce qu’ils se recyclent en totalité et de façon naturelle, les biodéchets sont une ressource à part entière, qui contribue à l’enrichissement des sols et favorise la biodiversité.

 

Quelles sont les limites au développement du compostage en France ?

Parmi les limites au développement de la pratique du compostage de proximité, on peut citer :

  • la disponibilité de composteurs, en particulier dans les lieux densément peuplés. L’entrée en vigueur de l’obligation de tri à la source des biodéchets a contribué au développement de solutions. Le Plan national de prévention des déchets cite l’objectif d’une couverture de 40 % des habitants en France à fin 2024 ;
  • la nécessité d’être formé à la pratique du compostage, qui nécessite quelques connaissances de base pour être bien effectué ;
  • la nécessité d’accompagner les collectivités dans le déploiement de solutions de tri à la source.

 

Et demain, quels objectifs ?

Le tri à la source des biodéchets est généralisé depuis le 1er janvier 2024. Pour continuer le déploiement de cette obligation, la France concentre ses efforts sur l’accompagnement des ménages et des collectivités dans la gestion de proximité des biodéchets.

Incinération et enfouissement : 28 % de nos déchets

Lorsque toutes les options de valorisation sont épuisées, il reste l’élimination des déchets, soit par incinération sans valorisation, soit par enfouissement – en clair, par stockage dans les décharges. En 2024, cela concerne encore 28 % de nos déchets, un chiffre qui a baissé de 8 points en dix ans. La loi AGEC fixe l’objectif d’atteindre un traitement par élimination pour seulement 10 % des déchets des ménages et assimilés produits en 2035. L’ensemble des mesures prises pour favoriser d’autres modes de valorisation des déchets tend vers la réalisation de cet objectif.

Quelles autres formes de valorisation ?

De façon marginale, d’autres formes de valorisation des déchets sont possibles :

  • On parle d’Upcycling ou de surcyclage quand les déchets sont récupérés pour être transformés en un nouveau produit à plus forte valeur ajoutée. Récupérer des chambres à air de vélo pour les transformer en ceintures, des bâches ou des toiles utilisées dans la communication pour créer des sacs ou des objets de décoration, transformer des palettes en meubles, etc., constitue quelques exemples d’upcycling.
  • La régénération consiste à redonner à un déchet ses caractéristiques premières via un procédé physique ou chimique. Elle est utilisée en particulier pour les huiles usagées. Le procédé s’apparente toutefois au recyclage.
Stéphanie Brassart

Article rédigé par Stéphanie Brassart

Depuis 10 ans, Stéphanie Brassart pilote chez ELISE, des initiatives alliant engagement environnemental et responsabilité sociale. Son engagement profond pour la protection de l’environnement et la création d’emplois en faveur de personnes en situation de handicap se traduit par le rayonnement d’ELISE au niveau national.

Références

1

Appareils reconditionnés : oui, mais pas n’importe comment – ADEME Infos. (2024, 4 janvier). ADEME Infos. https://infos.ademe.fr/magazine-novembre-2022/faits-et-chiffres/appareils-reconditionnes-oui-mais-pas-nimporte-comment/

2

Cadre général de la prévention des déchets | Ministère de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques https://www.secologie.gouv.fr/politiques-publiques/cadre-general-prevention-dechets

3

ADEME Infos, op. cit.

4

Étude sur l’innovation dans le e-commerce, 6e édition, FEVAD, KPMG, septembre 2022, https://kpmg.com/fr/fr/media/press-releases/2022/09/seconde-main-e-commerce.html

5

ADEME. (2024). Déchets : Chiffres clés 2024. Agence de la transition écologique. https://librairie.ademe.fr/economie-circulaire-et-dechets/7638-dechets-chiffres-cles-l-essentiel-edition-2024.html

6

Service des données et études statistiques, sous-direction de l’information environnementale. (2024). Bilan environnemental de la France, édition 2023. Consulté le 18 octobre 2024, à l’adresse https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr

7

ADEME (2024), Déchets : Chiffres clés 2024, op. cit.

8

Ibid.

9

Ibid.

10

Ibid.

11

Cadre général de la prévention des déchets, op. cit.

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